Club Internet est bien à vendre

Comme la rumeur l'annonçait depuis déjà quelques temps (voi mon post du 12 février), Deutsche Telekom, en proie à quelques difficultés financières, a officiellement annoncé vouloir se séparer de sa filiale internet française, qui n'a jamais réussi à rattraper son retard sur le marché.

Le bal des prétendants commence: Neuf-cegetel continuera t'il sur sa lancée après AOL et Erenis ? Free va t'il se lancer dans de la croissance externe ?
A moins que des outsiders jouent les trouble-fêtes: Noos pourrait chercher à amener sa bonne connaissance des immeubles parisiens et son réseau urbain pour des offres très haut débit. Et Bouygues Telecom reste encore plus ou moins attentiste, fragilisé par le départ de son directeur général chez TF1, et encore loin de la convergence malgré un partenariat avec altitude telecom.